C'est sans doute l'une des plus célèbres expériences scientifiques de l'histoire de la psychologie, au point qu'elle a même inspiré, il y a cinq ans, un documentaire polémique en France, Le Jeu de la mort. (*) Au début des années 1960, Stanley Milgram, chercheur à Yale, demande à des individus sélectionnés par petite annonce d'infliger des chocs électriques d'intensité croissante à d'autres individus (qui, eux, sont en réalité des acteurs, et ne reçoivent en fait pas de chocs) s'ils échouent à retenir des mots. Le tout sous la supervision d'un scientifique, et en leur faisant croire qu'ils participent à une étude sur l'influence de la punition sur l'apprentissage. Dans la variante la plus connue de l'expérience, 65% des individus allèrent jusqu'à la tension maximale, et potentiellement mortelle, de 450 V. L'expérience est devenue emblématique, résume la British Psychological Society, de la façon dont «des gens ordinaire
Être antichrist, c'est nier que Christ est venu en chair (2 Jean 7). Nier que Christ est venu en chair, c'est nier que Dieu S'est montré à nous tel qu'IL EST. Nier que Dieu S'est montré à nous tel qu'IL EST, c'est ne pas voir, voire même ne pas vouloir voir, et donc ne pas pouvoir s'approprier, ce qu'IL EST. Du fait que beaucoup ne veulent pas voir ni s'approprier ce que Christ est, l'antichrist est déjà là (lire 1 Jean 4:3). L'antichrist est donc déjà là du fait que, ce qu'est Christ, est nié par beaucoup: Beaucoup nient que Christ est le prince de paix: beaucoup en effet approuvent l'intervention armée, quelle qu'elle soit. Ceux-là nient donc que Dieu nous a montré le chemin de la paix en Christ venu en chair: ceux-là donc sont l'antichrist. Beaucoup nient que Christ est notre guide: beaucoup en effet, plutôt que de suivre Christ, suivent des leaders religieux. Ceux-là donc nient que Dieu nous a montré que l